Les dépôts croissent moins que les crédits mais les banques disposent toujours d’un matelas confortable de ressources. Au Maroc, il y a une bataille très dure sur les grands segments où les commissions sont plutôt tirées à la baisse, obéissant aux règles de la concurrence. La problématique de l’accès des PME au financement n’est plus d’actualité. La suite : http://www.lavieeco.com/Economie/omar-bounjou-le-systeme-financier-marocain-est-relativement-protege